Description
Oemine Vitamine D3 végétale à base de lichen
Ce complément alimentaire d’origine naturelle contribue à combler une insuffisance en vitamine D très fréquente dans la population, notamment lors de périodes spécifiques dites à risques (hiver, grossesse, ménopause, croissance…).
La vitamine D3 végétale d’Oemine D3 600 UI* est extraite du lichen, et peut représenter une alternative à la forme synthétique de cette vitamine.
Elle est compatible avec les modes alimentaires végétaliens ou végétariens.
1 spray délivre 100% des VNR (Valeurs Nutritionnelles de Référence).
* UI = Unités Internationales, terme utilisé pour exprimer la mesure de la vitamine D.
Intérêt de la vitamine D végétale d’Oemine D3 600 UI
La vitamine D végétale d’origine naturelle d’Oemine D3 600 UI contribue :
- Au maintien d’une dentition normale et d’une ossature normale
- Au maintien d’une fonction musculaire normale
- A une fonction normale du système immunitaire
- A l’absorption et à l’utilisation du calcium et du phosphore
- A une calcémie normale
- Au bon fonctionnement des articulations.
- Joue un rôle dans le processus de division cellulaire.
Conseillée :
- Chez les nourrissons, enfants et les adolescents en pleine croissance
- Chez les séniors
- Chez les femmes enceintes ou allaitantes
- Chez les femmes ménopausées
- Chez les personnes ne s’exposant que peu au soleil
- Chez les personnes ayant une fragilité osseuse et/ou musculaire
Qu’est-ce que la OEMINE D3 végétale ?
Cette vitamine D3 (cholécalciférol) végétale adoptée par les véganes provient d’une source particulière, le lichen. L’analyse de l’huile extraite de ce lichen a montré en effet la présence de vitamine D3.
Pour en savoir plus sur l’importance de la vitamine D, voici un lien vers le podcast Métamorphose d’Anne Ghesquière où le Docteur Paul Dupont fait un tour complet de la question :
PODCAST DR DUPONT SUR LES VITAMINES D NATURELLES
Références :
Dans son avis paru en 2021, l’Anses a retenu l’apport de 10 μg/j, soit 400 UI/j, comme référence nutritionnelle pour les nourrissons de moins de six mois (Anses 2021). Par ailleurs, l’Efsaa fixé une limite supérieure de sécurité à 25 μg/j (1000 UI/j) pour les nourrissons de moins de un an et à 50 μg/j (2000 UI/j) pour les enfants de un à dix ans (Efsa 2012). Actuellement en France, il est recommandé de supplémenter avec 1000 à 1200 UI/j, soit 25 à 30 μg/j, de vitamine D les nourrissons allaités, ainsi que les enfants de moins de dix-huit mois qui ne consommeraient pas de préparation infantile mais un lait de vache non enrichi en vitamine D.